Par cette mise en abyme du «white cube», j’essaie d’entamer une réflexion sur la place du spectateur dans l’œuvre d’art mais aussi dans son espace d’exposition.
En jouant avec ce volume fixé au mur, le spectateur est en même temps physiquement contraint pour y accéder et en même temps camouflé puisqu’il fait maintenant partie intégrante de son espace.